22 février 2012

Passé sportif et acquis

Avant d'entrer dans le vif du sujet, il me semble essentiel pour mieux comprendre la suite du propos de revenir sur mon passé sportif : les acquis de "l'âge d'or" et mes débuts.

J'ai découvert l'endurance lors de l'été 2006 par un concours de circonstances : n'étant pas assez nombreux pour notre match de foot dominical , je me suis retrouvé avec un ami l'après-midi dans la Valmasque pour notre première randonnée VTT, quelques kilomètres dans la forêt locale.

Le VTT m'a tout de suite beaucoup plu, j'ai accroché et depuis lors, je n'ai cessé de parcourir le département à la recherche de nouveaux sentiers, paysages et panoramas en augmentant les distances, le dénivelé et la difficulté.
Cela reflète bien l'enthousiasme et le matériel de l'époque !

Je me souviens encore, lors de notre deuxième ou troisième sortie à Saint-Vallier de Thiey, nous étions descendus sur Saint-Cézaire sur Siagne et j'ai été saisi d'une terrible défaillance, coup de chaleur ou coup de bambou, je ne sais pas ! J'ai été contraint à la marche pour remonter, incapable de pédaler sur les 300 mètres de dénivelé positif du retour, pourtant sur piste facile.

Début de la randonnée pédestre lors de l'été 2007 au Cheiron et autour Grand Capelet, de sacrées aventures pour nous à l'époque.

Sur les crêtes du Cheiron


Final dans la souffrance au Grand Capelet


Je ne courrais pas encore dans les descentes et pour cause, c'est par hasard également que j'ai été initié à la course à pied lors de l'automne 2007, répondant à l'invitation d'un partenaire de tennis qui préparait le marathon. Là aussi, je garde en mémoire mes débuts tumultueux :
  • un aller-retour sur le bord de mer entre Mandelieu la Napoule et Cannes, environ 10 km en un peu plus de 50 minutes, à fond et complètement exténué ;
  • suivi de 20 km dans l'Estérel avec un peu de dénivelé en un plus de 2 heures, toujours à fond et complètement mort et courbaturé à l'arrivée (deux semaines pour m'en remettre).


Autant dire que je n'ai vraiment pas fait ce qu'il fallait ...


Auparavant, je pratiquais principalement en loisir mais aussi parfois en compétition le tennis et le football à 7 en corporatif ou entre amis sur des terrains de handball :
  • de 2001 à 2006 : environ 3 à 5 fois par semaine ;
  • de 1998 à 2000 (études) : 1 fois par semaine, généralement le week-end.

Plus tôt, dans ma jeunesse, hélas peu de sport, du tennis avec 1 à 2 séances par semaine de 11 à 16 ans et bien sûr les cours d'EPS au Collège et Lycée.

C'est d'ailleurs un des mes grands regrets, ce manque de pratique et cette découverte tardive étant selon moi une des principales causes d'un cœur peu performant ...

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